Les Amazones : Le livre de Jim Fergus

Bonjour à tous, j’ai terminé « Mille Femmes blanches » tome 3 : Les Amazones de Jim Fergus Si vous voulez, vous lancez dans cette aventure hippique, je vous conseille de lire le premier tome en premier. Ce n’est pas un coup de cœur, pour moi, c’est le premier tome qui m’a plus bouleversé. Mais je me suis encore énerver contre l’être humain. Mais on apprend que même aujourd’hui, les amérindiennes sont encore malmenés et méprisés. J’ai été heureuse de retrouver les personnages et j’ai été triste pour les jumelles de Chicago, bon c’est vrai que certain j’avais envi de le massacrer. (Ceux qui l’ont lu comprendront). Si vous l’avez lu, je serais ravi de discuter avec vous. Bonne lecture à tous et gros bisous de la Meuse.

Nous voilà en 1876, sur les terres indiennes, l’auteur nous montre le portrait de femmes courageuses. Même si j’ai eu du mal à rentrer dans l’histoire au début, je me suis laissée finalement transporter par le récit, les personnages qui luttent pour le peuple indien. À travers s le récit de May et Molly, on partage le quotidien mais aussi la souffrance, l’espoir et la peur. L’auteur reprend les journaux de deux heroines . Molly Standing Bear prend contact avec Jon W Dodd, fils du journaliste qui a publié les deux précédentes revues . Elle va lui transmettre les derniers cahiers rédigés par May et Molly leurs ancêtres et qu’il publie au fur et à mesure. Ainsi nous découvrons la suite de leur histoire.

Dernier livre de la trilogie. L’armée américaine a gagné mais honte à elle d’avoir suivi les ordres de personnages belliqueux, accapareurs de terres, massacreurs d’une culture séculaire et traites aux engagements pris. La société des femmes guerrières au cœur vaillant a poursuivi la bataille jusqu’au renoncement mais leurs descendants, génération après génération, poursuivront leur œuvre. Les primitifs, (peuple fier et pacifiste qui ne demandait qu’à vivre sur ses terres), sont désormais parqués dans des résidus de terrains, désœuvrés car sans travail face à la méfiance des gens « bien pensants » soumis aux lois des blancs dits civilisés et à tout ce qu’il réprouvaient ( l’alcool, les maladies, leur culture, leur dignité, leur bien être, leur soif de liberté…). Malgré tout, un essoufflement dans ma lecture. Ne me reste plus qu’à lire le premier tome (1000 pages). Plus tard.