Fullmetal Alchemist Perfect - tome 7 : Le livre de Hiromu Arakawa

Extrait : Je continue d’avancer lentement sur la série, il faudrait presque que j’aille un peu plus vite même. Après tout, je l’ai déjà lue, mais ça date tellement que je continue de mélanger certains événements (dans le sens ordre chronologique). Je crois aussi que mes souvenirs du film live viennent un peu perturber mes souvenirs du manga, car il va aussi beaucoup plus vite et certaines choses étaient différentes. Avec ce tome, les homonculus font enfin une véritable entrée, Roy et les autres apprennent enfin leur existence et visiblement, c’est assez mauvais signe. Naturellement, avoir affaire à un être qui semble immortel c’est compliqué, alors plusieurs ! Même si ce sont des méchants, je les apprécie toujours autant, sauf deux d’entre eux (le général notamment et un autre qui n’a pas été montré je crois). Après ses passages effrayants où l’ennemi semble invincible, il y aura un petit moment d’espoir, avec la défaite de l’un d’entre eux, qui les ramène un peu vers une vie limité. Difficile de dire combien de fois il faut les tuer, ou combien de dégâts il faut occasionner pour enfin les achever. Que ce soit à cause du format manga, où l’auteure ne va pas répéter une scène plusieurs fois pour nous donner le nombre. Ou bien à cause de l’âge des homonculus, pour rappel, certains ont déjà plusieurs siècles et je doute que l’époque actuelle soit la première où ils perdent une vie. Ce nombre doit dépendre de l’énergie contenue dans la pierre utilisée pour les animer. Quant à son énergie, elle doit dépendre du nombre des sacrifices et peut-être même qu’elle diminue naturellement avec le temps… En tout cas, même s’ils ne sont pas immortels, ils sont difficiles à battre et peuvent largement éliminer leurs adversaires avant que l’inverse soit possible. Mais c’est aussi une faiblesse, puisqu’ils ne font pas vraiment attention aux dégâts qu’ils subissent, jusqu’à qu’ils deviennent important (à part Envy peut-être, mais il a toujours été un peu particulier). Les deux frères vont se séparer pour un petit moment et vivre ainsi une aventure chacun de leur côté. Une manière du côté d’Ed de remettre en ordre son esprit et de mieux saisir les actions de Roy. Tandis qu’Alphonse aidera justement son groupe face aux homonculus. Le général reste assez mystérieux, il fait partie des ennemis, pourtant il ne souhaite pas arrêter Roy pour l’instant. Je me demande aussi pourquoi ils parlent de personnes à sacrifier en particulier, est-ce que sélectionner des alchimistes améliore la qualité d’une pierre ? Leur chef ressemble fortement au père des frères, mais je ne me souviens plus de ce qu’il advient de lui… Edward a raison de le détester, il vit littéralement dans son monde et c’est de sa faute si ses enfants ont faire n’importe quoi une fois seuls. Plusieurs révélations ont lieu dans ce tome, Winry affiche enfin ses inquiétudes auprès de ses amis… mais ce n’est pas tout. Je ne m’en souvenais pas, mais elle déclare aussi un peu qu’elle aime Edward ! Etonnant qu’Alphonse n’ait pas relevé cette information pour l’utiliser ensuite (ou alors, il préfère en faire abstraction). Dure dure d’être un tas de ferraille, Alphonse se met à beaucoup réfléchir et peut-être pas dans le bon sens. Il évoque le fait que lui-même n’est pas immortel, puisqu’il suffit que la marque s’efface ou se dégrade pour qu’il disparaisse… sans oublier les autres possibilités qu’il évoque et qui sont vraiment flippantes. Au moins, il n’a plus l’idée en tête qu’il n’est qu’un être créé de A à Z par quelqu’un d’autre, c’est au moins ça. [...]