Les Bons garçons : Le livre de Pierre Adrian

Poche

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Date de parution : 12/08/2021

Ils sont de " bons garçons ", de bonne famille, des beaux quartiers. Au volant de leur rutilant cabriolet, lunettes de soleil sur le nez, ils traînent dans les rues de Rome une dolce vita à peine désabusée.
Sur leur Mobylette, Maria Grazia et Raffaella n'ont de richesses que leur jeunesse, leur soif d'ailleurs, leur peau bronzée.
Filles des faubourgs et fils à papa encanaillés n'auraient jamais dû se croiser. Mais dans la torpeur de l'été, l'Italie des années 1970 se rêve sans lutte des classes : à la faveur d'une fête improvisée, tout va déraper. Là-haut, dans la villa balnéaire du mont Circeo, les pulsions transpirent et les masques tombent. Tarentelle pour un massacre..

De (auteur) : Pierre Adrian

Expérience de lecture

Avis des libraires

" Adrian a fait d'un carnage une chorégraphie, il a métamorphosé un épouvantable fait divers en roman radieux ; c'est un magicien ou peut-être un sorcier – un peu comme Circé. "
Le Point

" Pierre Adrian métamorphose un fait divers barbare en drame mythologique, aux réminiscences homériques. Son récit télescope la chronologie, mêle les trajectoires, et la vraie vedette en est Rome. "
Livres Hebdo

" Un roman solaire et tragique, joyeux et triste dans l'Italie de 1975. "
Le Figaro littéraire

" Le côté rétro n'est pas sans charme : ce roman, ce pourrait être un livre de poche qu'on retrouverait dans une maison de campagne et qu'on lirait d'une traite au cours d'une nuit blanche. "
L'Express

" Le récit social et politique de deux Italie, aux allures de conte mythologique. "
Le Quotidien

" Pierre Adrian écrit divinement. Pasolini se serait sans doute reconnu dans Les Bons Garçons, roman glaçant des années de plomb italiennes. "
Le Figaro magazine

" Les Bons Garçons fait partie de ces livres, à la Sukkwan Island, qu'on a peur de poursuivre. Une lecture redoutable."
Librairie Fontaine

" Une fin d'été brûlant, pleine de promesses, où la fête se glace soudain et l'enfance se tait à jamais. "
Point de Vue

" Dans un roman noir chauffé à blanc par le soleil romain, rythmé par la bande-son de l'époque et les buts de Gigi Riva, l'auteur brosse le portrait d'une jeunesse dorée, cynique et arrogante. "
L'Humanité