Nos destins infinis : Le livre de Laura Steven

Une lecture que j’ai trouvé très originale, une histoire d’amour avec deux amants maudits dont l’histoire semble impossible. Les rebondissements sont captivants et l'idée de réincarnation ajoute une profondeur fascinante à l'intrigue. Evelyn est un personnage fort et déterminé, et son dilemme entre l'amour et le devoir familial crée une tension palpable tout au long du récit. Chaque chapitre nous plonge un peu plus dans cet univers complexe où le temps et l'amour se mêlent de manière inextricable. J’ai trouvé l’intrigue bien ficelée et les thèmes tels que le sacrifice, le destin et la puissance de l’amour à travers le temps plutôt intéressants

Ce roman aurait aussi pu s'appeler : Je t’aimais, je t’aime, je te tuerai Nos destins infinis est une romance surnaturelle originale et inclassable où Evelyn et Arden, deux âmes sœurs, sont condamnées à s’aimer et à s’entretuer dans chacune de leur vie. La pire des malédictions : aimer à en mourir ou l’histoire sans fin de deux êtres immortels qui ne peuvent vivre réellement. Dans toutes leurs vies, depuis des siècles, Arden et Evelyn se retrouvent, s’aiment et, avant leur dix-huitième anniversaire, se tuent. À chaque fois, ils se souviennent de leurs vies passées, de leur amour, leurs retrouvailles et les circonstances de leur mort. La seule inconnue pour Evelyn, c’est pourquoi ? Pourquoi avant 18 ans ? « Nous ne pouvons pas vivre au-delà... Impossible. Cela nous anéantirait. » Une réponse qui n’en est pas une de la part d’Arden qui est le seul à connaître la vérité. C’est dans ce flou, en quête d’une explication, que le lecteur va suivre ce couple improbable. Les découvrant au fil des époques dans leurs vies passées, se réincarnant homme ou femme mais liés à jamais : Salvador, Chine, Sibérie, France, Turquie jusqu’au Pays de Galles. Étranglés, noyés, poignardés, empoisonnés, les morts sont diverses et souvent violentes. Pourtant le basculement est proche, Evelyn ne veut plus mourir, elle s’est attachée à sa nouvelle famille. Une mère aimante et une sœur malade qui ne pourra survivre qu’à sa greffe de moelle mais le compte-à-rebours mortel est enclenché et le temps du sacrifice approche. Laura Steven a construit une prison éternelle pour ses héros. « Notre histoire d’amour (...) était faite de sang, de douleur et de mort, un cycle atroce condamné à se répéter pour l’éternité. » Un roman surprenant et déroutant aussi poétique que La vie invisible d’Addie Larue  de V.E. Schwab.

Bon. Tu sais ce sentiment quand tu ouvres un livre et que, dès les premières pages, tu te dis : « Ok, ça y est, je vais en tomber amoureuse. » ? Eh bien, c’est exactement ce qui m’est arrivé avec ce roman. Et laisse-moi te dire… WOW. L’histoire ? Evelyn se souvient de toutes ses vies. Dans chacune d’elles, elle a aimé Arden à en perdre la raison. Et dans chacune d’elles, il l’a tuée avant ses 18 ans. Sympa, non ? #128517; Mais cette fois, tout est différent : elle a une petite sœur, Gracie, qu’elle aime plus que tout et qui a besoin d’une greffe. Evelyn doit survivre. Elle doit briser la malédiction. Elle doit surtout éviter de retomber amoureuse… Mais comment lutter contre l’inévitable ? #128171; Ce livre, c’est un mélange parfait entre romance, tension et poésie à couper le souffle. J’ai ressenti TOUT en le lisant : de la fascination, de l’angoisse, des papillons dans le ventre, des frissons… Je l’ai dévoré en un rien de temps, incapable de le lâcher tant l’histoire est immersive et addictive. L’écriture est sublime, l’ambiance magique, et le duo Evelyn/Arden… mon dieu, ce qu’il m’a fait vibrer ! On est sur une romance slow burn ultra intense, un destin qu’on aimerait réécrire à tout prix, et une héroïne qui se bat contre l’inévitable. C’est beau, c’est déchirant, c’est une claque émotionnelle. #128420; Et ce que j’ai trouvé encore plus beau, c’est la façon dont l’autrice parle d’amour. Ici, il n’a aucune limite, il traverse les âges, les genres, les destins. Peu importe la vie dans laquelle ils se réincarnent, Evelyn et Arden aiment et sont aimés sous toutes ses formes : femme, homme, peu importe. L’amour est universel, et ce livre le montre avec une sensibilité incroyable. Bref, tu l’auras compris : j’ai adoré. Et si toi aussi, tu aimes les amours maudits, les destins brisés et les histoires qui te hantent longtemps après avoir tourné la dernière page… fais-moi confiance, ce livre est fait pour toi. #10024; #128214; Tu le lis quand ? Parce que clairement, il faut qu’on en parle ! #128525;

#128173; Un coup de coeur qui m’a vraiment marqué ! Que dire à part que ce livre a été une merveilleuse découverte et que je pourrais en parler pendant des heures ? La plume pour commencer : elle est douce, poétique et on ressent bien l’importance du détail, qui laisse au fil des pages nombres de citations dont j’aimerais me rappeler tant elles m’ont marqué. Elle va de pair avec une histoire incroyable qui nous fait voyager à travers de nombreux pays et cultures, mais aussi dans l’Histoire, et c’est selon moi l’un des grands plus de ce livre. Cela le rend terriblement orignal et rythmé, car nous n’avons pas le temps de nous ennuyer. Pour ce qui est de l’histoire qui est clairement construite autour de l’Amour avec un grand A, au sens le plus poétique et sacré du terme, elle m’a totalement transporté. Encore une fois, douceur et poésie sont les maîtres-mots ici, et cela donne alors naissance à une romance terriblement belle et touchante. En plus de cela, elle est bien construite malgré le fait qu’il s’agit d’un one shot de seulement 400 pages.