The Royal Thorns - Tome 1 Insomnia : Le livre de Léa Nemezia, Lise Gillet, Jérôme Fonlupt

J'avais très hâte de découvrir Insomnia car j'en ai beaucoup entendu parler et principalement en bien. Cependant mon avis est assez mitigé et j'avoue sortir légèrement déçue de ma lecture. Bien que la plume de l'auteur soit fluide, ce qui rend la lecture agréable, et que l'ambiance générale (qui m'avait attirée à la base) soit elle aussi sympa, j'ai eu du mal à réellement apprécier cette lecture. Le côté Dark Académia que j'avais hâte de découvrir reste trop peu présent, idem pour les sociétés secrètes qui auraient méritées d'êtres plus développées. Les personnages de Skyler et Stan sont intriguants et leur relation est touchante mais pas assez creusée pour moi. J'aurais aimé qu'ils aient plus de profondeur, car je trouve qu'il manque un petit quelque chose pour que ce couple devienne réellement marquant. Le relation Edward-Stan m'a beaucoup plu mais le "plot twist" était réellement prévisible ce que je trouve dommage. Donc une lecture mitigée pour ma part, mais j'ai malgré tout hâte d'en savoir plus sur Heather que j'ai bien appréciée, ainsi que sur Alexander et Harry... P-S : Mention honorable pour le côté poétique que j'ai particulièrement aimé mais qui aurait peut être mérité d'être plus mit en avant ! :)

Énorme coup de cœur pour ce livre ! #x2764 Que de mystère résolus ou non , quel intrigue ! Bravo ! J’ai adoré le caractère de Sky , les démons de Stan . Cette relation est juste magnifique . J’ai finis ce livre les larme qui coulaient sur les joues ! Tome deux precommandé j’ai hâte d’en découvrir plus . Merci à l’auteure pour ça !

Oxford est un lieu qui nourrit bien des imaginations. The royal Thorns en exploite l’atmosphère mystérieuse, et nuancée. Les personnages ont tous des secrets. Ils sont tous beaux, ils ont tous une spécificité. Leurs comportements interroge, est ambigu et il est clair qu’il ne s’agit pas de protagonistes traditionnels. J’ai beaucoup aimé cet aspect psychologique, et notamment la relation entre Edward et Stan, complexe et tellement singulière. Je suis aussi contente de voir que ces personnages restent accessibles et que l’on peut s’identifier à eux, car, si la romance était restée dans cet aspect obsessionnel, cela m’aurait déplu. En revanche j’étais un peu déçue de ce cliché de la fille forte qui sort son couteau à tout bout de champ ( comme si c’était un fait anodin ) entourée de frères surprotecteurs ( espagnole évidemment ) et menant des affaires plus que louches. À vrai dire je ne sais pas trop quoi penser de ma lecture. Je n’aime pas les romans trop sombres, mais celui là est loin de l’être. Le vice est plus poétique que réellement présent, mais je pense que c’est un partie pris que j’apprécie. Oxford, les sociétés secrètes, les blessures d’un passé, les étudiants riches et torturés, tout cela nourrit un imaginaire exaltant. Ici, il semble régner comme une brume. On s’attarde sur les personnages, leurs relations et leurs psychologies. Oxford n’est qu’un poème. Et en soi, ça ne me déplaît pas. Je m’attendais à ce que tout soit plus insidieux, et un peu plus subtil, ce qui aurait placé la ville et surtout le groupe au centre de l’intrigue. Mais c’est Skyler et Stan qu’on a voulu faire rayonner, cette ambiance ne servant que de prétexte. On ne comprend pas forcément l’intérêt des sociétés secrètes ici, ni même le passé dévoilé, si étrange, si singulier. Mais ce roman est assez poétique en soi. C’est un roman où l’on est plongé dans un brume mystérieuse, où les actions se transforment en énigme, et les sentiments en vers. C’est beau c’est profond et c’est parfois touchant. C’est surtout une tension que l’auteur réussit malgré tout à faire tenir, même si le résultat paraît au fond moins extraordinaire qu’on le pensait d’abord-mais est ce vraiment important ? Le passé se mêle au présent dans un cadre élitiste et rongé de faux semblants : réussie ou pas, l’histoire parvient quand même à faire rêver.

Insomnia est le premier tome de la saga The Royal Thorns, écrit par Léa Nemezia. Ce roman met en scène Stan, un jeune étudiant torturé ayant perdu toute lueur d’espoir, et Skyler, une jeune femme cherchant désespérément à s’émanciper et à se créer une nouvelle vie. Tout deux sont liés, mais pour quelles raisons ? Dès les premières pages, la plume fluide de l’auteure rend la lecture agréable et rapide. L’histoire nous plonge dans l’univers prestigieux d’Oxford, un cadre gothique qui aurait pu être encore plus exploité. En effet, on m’a présenté ce livre comme appartenant au genre dark academia, mais j’ai trouvé que l’ambiance sombre et pesante manquait cruellement. L’univers des sociétés secrètes, qui m’attirait particulièrement, reste trop en surface. J’aurais aimé qu’on explore davantage leurs enjeux, leurs traditions, et leur influence sur l’intrigue. Malgré cela, l’ambiance générale du roman m’a plu, et j’ai envie de lire la suite en espérant que ces éléments seront plus développés. J’ai eu du mal à m’attacher aux personnages principaux, notamment à cause de leur dynamique déjà vue dans d’autres romances du même genre. La relation entre Skyler et Stan est touchante, mais il me manque ce petit quelque chose pour qu’elle me marque vraiment. J’ai apprécié le côté femme forte et indépendante de Skyler, mais j’attends de voir comment son personnage évoluera dans les tomes suivants. Stan, de son côté, a un potentiel intéressant avec son côté tourmenté, mais il manque de profondeur pour vraiment captiver. Les personnages secondaires, comme Heather ou les membres des Épines Royales, apportent une certaine dynamique à l’histoire, mais restent encore trop en retrait. J’espère qu’ils prendront plus d’importance dans la suite, car ils pourraient enrichir l’intrigue et ajouter des tensions supplémentaires ! L’histoire est globalement plaisante, mais le "plot twist" (si l’on peut l’appeler ainsi) était vraiment prévisible. J’attendais plus de surprises et de retournements de situation pour me tenir en haleine. Le roman suit des schémas classiques de romance et de mystère, ce qui peut plaire à certains lecteurs, mais qui m’a laissé sur ma faim. En revanche, le style d’écriture est un vrai point fort : Léa Nemezia a une plume fluide et agréable qui rend la lecture immersive malgré les éléments qui m’ont déçue. Insomnia est une lecture agréable qui se dévore rapidement, mais qui ne m’a pas totalement convaincue. J’aurais aimé une atmosphère plus sombre, un univers des sociétés secrètes plus exploité, et des personnages plus profonds. Je reste tout de même curieuse de lire la suite, en espérant retrouver enfin cette ambiance intrigante et mystérieuse que je recherchais dans ce premier tome. Et pourquoi pas avoir un coup de coeur ? xoxo