N'éteins pas la lumière : Le livre de Bernard Minier

Est ce que j’ai eu peur , pendant plusieurs jours Totalement !!! Ce thriller est un mélange tres bien ficelé de frisson, angoisse, et page Turner . Une fois commencé impossible à lâcher alors que pourtant le moindre bruit nous inquiète , chaque pages nous révèle un peu plus du drame qui se profile sans nous laisser respirer . Et le reste , peut on avoir un coup de coeur pour un thriller , si c’est le cas celui ci rentre dans mon top 3 en première place . Lisez le mais attention pas de nuit , ou alors n’éteignez pas la lumière .

*** Telle est la fin de qui mal agit*** Après la lecture longue, très longue, où l'auteur est parti dans des longueurs ... très longues (!) avec Le cercle, j'ai pris un réel plaisir avec ce troisième opus des enquêtes de Servaz : N'eiteins pas la lumière. Ici, le roman est haletant, addictif, terrifiant avec un Martin Servaz effacé, puisqu'il se refait une santé psychologique en maison de repos, destinée à tous ces flics qui virent mal. Mais, si vous connaissez le commandant Servaz, vous vous doutez bien qu'il ne peut pas lâcher prise aussi facilement. Que feriez-vous si quelqu'un fait de votre vie un cauchemar à vous pousser au suicide ? C'est ce qui va arriver à Christine, qui travaille dans une radio à Toulouse. Tout commence la veille de Nöel où elle trouve dans sa boite aux lettres une missive de quelqu'un qui va se suicider alors qu'elle ne connait pas cette personne. Cette lettre va être le début de son cauchemar. Elle va perdre son boulot, on l'a prendra pour une folle, on va s'en prendre à son pauvre Iggy, son chien, qui va passer de sales moments, elle va se retrouver dans des situations d'horreur absolue. Elle ne pourra pas compter sur son fiancé, tout le monde va lui tourner le dos. Mais, telle est la fin de qui mal agit ! De son côté, Servaz s'ennuie dans sa maison de repos, jusqu'au jour où un quidam lui envoie une clé de chambre d'hôtel, et ce, anonymement. De suite, Servaz pense à Julian Hirtman, le tueur en série, qui a tué Marianne dans le dernier opus. L'enquête commence pour le commandant de la police judiciaire ... Il va s'avérer que cette clé va le mener au sein de la vie cauchemardesque de Christine. Dans cet opus, Servaz est clairement au second plan de l'histoire. Christine étant l'héroïne principale. Le roman est très bien ficelé et mène le lecteur dans les délirs du harcèlement moral, physique et psychologique. Un bon moment de lecture !

Bernard Minier m'a encore une fois conquise avec ce 3eme tome de la saga de Martin Servaz. Un tome que j'ai trouvé bien différent des deux premiers mais toujours aussi efficace. Un vrai plaisir de retrouver Servaz, bien que peu présent dans ce tome. Mais ne vous inquiétez pas, il arrive à bon escient, au bon moment. Ce thriller m'a complètement rendue folle. Fausses pistes, rebondissements, manipulations.. J'ai cru tellement de fois avoir découvert le coupable mais que nenni, Bernard Minier m'a dupé pendant les 700 pages. Un thriller efficace, haletant ! Hâte de couvrir la suite où l'ombre de Hirtman pèse toujours sur Servaz.. #x1f4a1

Très bon tome, polar addictif dont on a du mal à quitter. Servaz étant en convalescence suite au trauma de l'enquête précédente, nous suivons Christine, jeune femme victime de menaces, d'intrusions malveillantes dans son quotidien, d'usurpation d'identité...victime d'un piège machiavélique qui se referme brutalement sur elle. La folie et la perversion dont très présentes et on se demande quel personnage n'est pas malveillant. Christine est un personnage fort qui ne se bat pour se faire entendre, se protéger et trouver qui lui en veut. Elle paie cher ce combat. Servaz reprend peu à peu pied et débute une enquête qui l'amènera à croiser la route de Christine. Polar toujours très bien écrit, au rythme intense. La fin est déroutante.