Tout ce qui manque : Le livre de Florent Oiseau

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Roman de la rupture amoureuse, cahier du pays natal, Tout ce qui manque fait le point sur tout ce qui compte

Parce qu'il ne suffit pas toujours d'écouter Radio Vinci Autoroutes pour voir du pays, cette fois les paysages filent pour de vrai. Limoges, Brive, la Dordogne enfin – et ce village perdu où il a grandi. Ici, il n'est pas ce romancier indolent qui écrit des livres comme on fait des pâtes. Il n'est pas non plus le mari d'Ana – plus vraiment, puisqu'elle l'a chassé. Il est " le fils Laurentis ". Le Parisien solitaire. L'exotisme et la menace. Car, depuis quelque temps, un serial killer ensanglante les chenils du bourg... Entre deux visites de gendarmes et un bad trip sous LSD, Laurentis trouvera le temps d'écrire ce roman d'amour, où le café a le goût du manque et les retours de flamme celui des soirs de pluie.

De (auteur) : Florent Oiseau

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Expérience de lecture

Avis des libraires

" Tout ce qui manque raconte tout ce que la rupture et la perte de l'être aimé dit de nous. "
Flair
" L'écrivain signe ici son plus beau livre, qui fait naître une émotion rare ".|Christian Authier
Le Figaro
" Sa singularité consiste à manier un sens de la moquerie souvent hilarant à une humanité pleine de tendresse. "|Nicolas Ungemuth
Le Figaro magazine
" Avec une plume irrésistiblement poétique et un sens inouï de l'observation, Florent Oiseau parvient à nous faire rire et pleurer en célébrant les petites choses de l'existence ".|Héloïse Goy
Version Femina
" Une écriture formidable "|Jérôme Colin
RTBF
" Le narrateur, porté sur l'autodérision, est lucide et drôle [...] Florent Oiseau exerce son talent de portraitiste. Il émeut les lecteurs. Le cœur de ce livre charmant, c'est l'attachement et l'amour en fuite."|Virginie Bloch-Lainé
Elle
" Tout ce qui manque fleure bon la mélancolie qui ne se prend pas au sérieux. "|Anaïs Dinarque
Maze
" Il est le chantre des loser magnifiques, le héros des traîne-savates, le défenseur des feignants imaginatifs. "|Nicolas Carreau
Europe 1
" Si vous avez envie de lire quelque chose de singulier et de drôle en cette rentrée littéraire, je vous conseille le cinquième roman de Florent Oiseau. "|@joellebuch
Instagram
" Un esprit caustique capable de rendre drôle des situations aussi banales qu'un voyage en intercités "|@flo_herisson (2700 F)
Instagram
" C'est à la fois drôle, touchant, poétique car Florent a le sens de la formule, de l'esprit libre "|@lex_libris (6500 F)
Instagram
" J'aime cette manière qu'il a de noyer le sujet principal dans une mer d'anecdotes que l'on pourrait qualifier de secondaires mais qui font tout le sel du récit. "|@genevieve_munier34
Instagram
" Un roman comme toujours drôle, tendre et poétique teinté d'une pointe de mélancolie dans laquelle on se perd volontiers et qui me fera attendre le prochain rendez-vous avec toujours autant de plaisir ! "|@leslecturedelodie
Instagram
Tout ce qui manque est avant tout un très beau moment de lecture, attendrissant, souvent drôle, bienveillant et intelligent. Facile à lire, ce livre est pour tous. Vous le refermerez le sourire aux lèvres.
Librairie à l'entour
" Tout ce qui manque est la plus preuve d'amour qu'un écrivain puisse faire pour récupérer la femme de sa vie. C'est la solitude à la Hooper et le charme du loser à la Vincent Macaigne pour qui le quotidien banal devient une aventure. Humour décapant et savoureuse nostalgie, c'est un coup de coeur ! "
Librairie Masséna
" Le dernier roman de Florent Oiseau part d'une rupture, d'un besoin de changer d'air quand l'autre décide pour l'un que c'est l'heure du changement. Retour aux sources, rencontres surprenantes, il n'est nullement question de se laisser abattre mais d'aller au bout d'un projet et espérer récupérer Ana. Chez Florent Oiseau aucun personnage n'est vraiment secondaire et son antihéros nous permet de croiser une belle galerie de périgourdins hauts en couleur. À la mélancolie et à l'humour, s'ajoute une belle humanité, il y a un style Florent Oiseau, et c'est ce qui fait que ce roman sur la rupture n'en est pas juste un mais un certain regard sur le monde et peut-être même une invitation à l'observer, et à écouter Radio Vinci Autoroute et Kylie Minogue. "
Librairie BookStore
" Florent Oiseau est un éternel grand gamin qui se joue de tout... Il manie l'ironie comme personne et pourtant, derrière cette façade déjantée et caustique, on finit toujours par tomber sur des bribes de tendresse qui parviennent à rendre attachant son insupportable héros. Une lecture décalée idéale pour faire travailler ses zygomatiques ! "
Le bruit des mots
" Quatrième livre de cet auteur de ma génération que j'affectionne particulièrement. Héraut des perdants magnifiques, il se lance ici dans le délicat exercice de parler d'amour. " Un roman inutile pour les autres mais précieux pour lui " car oui, la frontière semble mince entre la fiction et l'autobiographie. Inutile pour lui, car écrire un livre pour reconquérir un cœur, ça ne marche que dans les mauvaises comédies romantiques ; inutile pour nous, car que peut nous apporter le trip égocentrique d'un Parisien perdu dans le fin-fond de sa province natale ? Précieux pour lui, car l'écriture, saupoudrée d'(auto)dérision mordante, s'avère être la meilleure des catharsis ; précieux pour nous, car les solitudes oubliées de tous resplendissent sous sa plume et deviennent les poètes des petites choses du quotidien. En résumé, si l'on se sent seul, il faut lire Florent Oiseau. Son dernier livre ne déroge pas à cette règle. "
Librairie La Cité du Vent
" Hilarant souvent, émouvant toujours. Le lecteur embarque dans la douceur et dans la douleur, un subtil mélange des deux que maîtrise Florent Oiseau à la perfection. "|Nicolas Winter
Medium
" Florent Oiseau nous présente un nouveau loser magnifique, dans un roman tendre et drôle. "|Audrey Verbist
L'Avenir
" Un roman très drôle avec une pointe de mélancolie. Un regard intelligent et lucide sur le monde sans se prendre au sérieux. "
Europe 1
" Une écriture à l'élégance désabusée et à la tristesse
narquoise alliée à un art du portrait qui contourne l'écueil facile de l'ironie. "|Nathalie Agogué
Libération
" Roman drôle et sensible. Un bon moment de lecture ! "
Le chat se livre
" Chaque nouveau roman de Florent Oiseau est un bonbon plus doux que le précédent. Quand on pense qu'il ne peut plus nous surprendre, qu'on a déjà tout lu, tout ressenti, il attend derrière la porte, prêt à nous jeter des seaux d'émotions pures, nous faire rire aux éclats et pleurer de tendresse - ou bien l'inverse. "
Librairie L'Autre rive
" Livre après livre, on aime les romans drôles et attachants de Florent Oiseau, et la tendresse et l'humanité de ses personnages (mal) dissimulées sous une couche d'ironie. "
Librairie L'instant
" Un auteur qui sait poser un regard unique sur notre monde et en faire quelque chose de spécial, tour à tour drôle, sensible et philosophique, ce roman ne manque pas de nous emmener ailleurs ou peut-être, plus simplement, de nous redonner le goût de la vie. "
Librairie Montbarbon

Avis Babelio

Evasionlivresque

4.00 sur 5 étoiles

• Il y a 3 semaines

Hurluberlu - Extravagant - Décalé Et finalement, ce livre en devient Kiffant, tellement il nous plonge à l’intérieur de nous-même et de nos souvenirs. J’ai adoré le sujet de fond, totalement dissimulé derrière un humour sarcastique et mélancolique original. De la littérature générale comme je n’en ai jamais lu. Une lecture aussi surprenante qu’elle dénote. Un début de lecture qui m’a ébranlé par son extravagance jusqu’à finir par me séduire et me ravir. Une rupture qui ébranle un homme qui taira son identité jusqu’au bout de ce récit, excepté son nom, Laurentis. Ana vient de le quitter sans crier gare. Il sait qu’elle a raison, il sait qu’il ne lui accordait pas l’attention qu’elle mérite. Radio Vinci Autoroutes n’est plus suffisant pour Laurentis, alors il quitte Paris pour voir du pays véritable et revivre intrinsèquement sa vie à travers des souvenirs emplis d’amertume. Il retourne dans son village natale où il a grandi et où il n’est pas l’écrivain nonchalant mais plutôt le fils Laurentis ou Le Parisien solitaire. Laurentis nous livre ses déboires divers et multiples tout en plaidant l’écriture d’un roman d’amour pour reconquérir sa bien aimée. À travers la mélancolie d’un amour perdu et de souvenirs d’une vie platonique, le tout sur un ton névrosé ponctué ici et là d’un humour sarcastique, une plume hors du commun qui m’a sortie de ma zone de confort de manière décalée et agréable. Ce que j’ai le plus aimé dans ce roman, c’est sa profondeur et ce qui se cache derrière son côté décalé ; tout ce qui manque m’a m renvoyé à mes souvenirs et leurs actes manqués… Derrière ce titre et ce récit, tant de choses me font écho…merci Florent et les éditions Pocket pour cette évasion livresque réussie.

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Lecturedetente

3.00 sur 5 étoiles

• Il y a 1 mois

#9726;Je ne connaissais ni l'auteur ni le livre et on ne va pas se mentir ; si je ne l'avais pas reçu dans le cadre du grand prix Pocket, je ne l'aurais jamais lu. C'est d'ailleurs justement l'intérêt de participer à ce genre de concours : découvrir de nouvelles plumes ! #9726;La lecture fût assez laborieuse pour ma part. Le style d'écriture est atypique. Il y a très peu de dialogues. L'auteur nous narre la vie d'un auteur justement. On peut d'ailleurs se demander si l'histoire est autobiographique. Se succèdent des morceaux de vie, des souvenirs. Le langage est parfois cru, le personnage m'a dérangé. Il m'a semblé nonchalant, banal. Je n'ai pas ressenti d'émotion particulière à la lecture de ce roman. #9726; Toutefois, n'hésitez pas à vous faire votre propre avis car j'ai pu lire beaucoup d'avis positifs et des coups de cœur pour ce livre.

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jaspergarp

3.00 sur 5 étoiles

• Il y a 1 mois

L’histoire : Romancier ( pour son éditeur , « de tous les écrivains sans intérêt , il est le meilleur »), la quarantaine , largué par Ana après 15 ans de vie commune. Vrai citadin , le voilà obligé de quitter Paris pour se retrouver en Dordogne dans le village de ses parents décédés depuis une dizaine d’année ( choc culturel évident …) Un lieu oublié mais qui en fait était important. Evidemment, les souvenirs remontent à la surface. Les bals en plein air , les fêtes de village…. Il fait de nouvelles rencontres, se fait adopter par un chien « batard de province ». Un tueur de chiens sévit dans la région : heureusement les gendarmes et le Maire sont sur le coup Il participe à un salon du livre, y croise des auto édités, sympathise avec La gâchette, 20 ans de placard derrière lui . J’ai bien aimé la vision et les commentaires de l’auteur sur ses collègues auteurs, sur les lecteurs et sur les bénévoles. « Signer un poche ne rapporte rien, vingt centimes de droits d’auteur ». » Signer un poche revient à dédicacer un marque page » Et comme il est écrivain, il écrit un roman. Parce qu’écrire va l’empêcher de couler Parce que plus il écrit, plus il tombe amoureux d’Ana Parce qu’avec ce roman plein d’amour, de détails et d’humour, il compte bien reconquérir Ana. J’ai aimé ce roman qui est une belle déclaration d’amour faite avec beaucoup d’humour. Des passages sont irrésistibles C’est le roman drôle d’un héros perdu et touchant

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fabriceverdure

3.50 sur 5 étoiles

• Il y a 1 mois

Le narrateur, Laurentis, enfin l’écrivain part de Paris pour la campagne en Dordogne. Tout en détail, on vit le trajet du train, ses ressentis et ses déboires. Il retrouve la maison de ses parents. Bâtisse isolée, pendant l’hiver, retrouver les empreintes du passé. Il s’y installe pour un temps incertain, trouver le moyen d’oublier la rupture amoureuse d’Ana. C’est elle, la première qui relie et corrige les imperfections de ses manuscrits avant qu’ils aillent chez l’éditeur. C’est à elle qu’il pense quand il ouvre ses yeux le matin. C’est pour elle qu’il écrit ce récit amoureux… C’est aussi le moyen de se retrouver seul, face à ses tourments, son passé et peut-être ses ambitions. Ses anciens jobs, ses rencontres. Ce sont des visites impromptues, Xavier, un chien errant et futur compagnon de passage… le maire et ses répliques tapageuses, des anciens flics amants cachés, une série meurtrière (assassinats de chiens), Véra, une voisine à l’âge avancée mais encore sulfureuse … des habitants bien dans leurs jus, une vieille femme et son fils alcoolique. C’est en écoutant Radio Vinci, celle de l’autoroute, qu’il s’informe sur l’actualité. C’est un excellent moment, celui où il se trouve encadré par deux acolytes, à un salon du livre pour dédicacer ses romans, « la gâchette » biographie d’un ancien meurtrier et un essai décrit comme un dictionnaire pensé depuis le point de vue d’une vache… L’écriture est planante, mélancolique, des descriptions des lieux bien précises, on s’amuse des comparaisons musicales ou littéraires. C’est l’histoire d’un moment de partage, un chapitre de la vie. Ses quelques mois où il est retiré de la ville, sa passion pour Ana et le retour à Paris sont trop courts pour accorder une réelle fin de roman.

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Fiche technique du livre

  • Genres
    Romans , Roman Français
  • EAN
    9782266341547
  • Collection ou Série
  • Format
    Poche
  • Nombre de pages
    176
  • Dimensions
    179 x 112 mm

L'auteur

Florent Oiseau

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7,70 € Poche 176 pages