Le Premier qui meurt à la fin : Le livre de Adam Silvera

Grand format

Robert Laffont

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La préquelle du best-seller mondial Et ils meurent tous les deux à la fin.

" Ne cherchez pas à comprendre comment nous savons que vous allez mourir, concentrez-vous plutôt sur votre manière de mener à bien votre existence. "

New York, la veille de la mise en fonction de Death-Cast...
Orion Pagan vit dans la crainte de mourir, il s'est inscrit à Death-Cast pour cesser d'avoir peur.
Valentino Prince vient juste de s'installer à New York prêt à mordre la vie à pleines dents.
Lorsque Orion et Valentino se croisent à Times Square, c'est le coup de foudre. Mais les premiers appels de Death-Cast commencent à tomber, bouleversant leur vie : l'un a reçu l'appel, l'autre pas.

De (auteur) : Adam Silvera
Traduit par : Cécile Ardilly, Fabien Leroy

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Expérience de lecture

Avis Babelio

CloeClooo

3.50 sur 5 étoiles

• Il y a 3 semaines

J’avais beaucoup aimé le premier livre, Et ils meurent tous les deux à la fin, et cette question qu’il proposait : Que feriez-vous si vous saviez que vous alliez mourir dans les prochaines 24h? J’avais aimé le concept, mais aussi les personnages, et l’histoire m’avait émue. J’avais donc hâte de découvrir le prequel de ce roman, et de me plonger dans les premiers jours de DeathCast ! Avec ce titre qui, encore une fois, est lui aussi très attirant… J’avoue que j’ai finalement été un peu déçue. J’ai eu plus de mal à rentrer dans l’histoire, à m’attacher aux personnages. J’ai trouvé le livre plus long, et manquant un peu de ce côté émotionnel et universel que ce genre de situation peut susciter. Et puis, j’avoue que certains éléments manquants (de façon voulue par l’auteur) de l’histoire m’ont finalement dérangée. On ne [masquer] saura donc jamais comment fonctionne DeathCast? On dirait plutôt que l’auteur ne le sait pas lui-même… Ça ne m’avait pas autant dérangé dans le premier roman, mais dans celui-ci, qui explore plus le point de vue du fondateur, je trouve que ce manque devient un peu grossier. Mais ce qui m’a le plus dérangée, c’est cette histoire de mal-fonctionnement de DeathCast pour le premier jour de son lancement, qui n’affecte étrangement pas les personnes ayant déjà été appelées (elles vont bien mourir aujourd’hui), mais uniquement ceux qui ne l’ont pas été - et qui sont donc à risque de mourir quand même sans avoir été prévenus. On nous apprend que ce bug s'arrête à 12 personnes (pourquoi? Choix très arbitraire…), alors même que 11 personnes ont déjà été affectées. Il n’en reste donc qu’une, et évidemment c’est censé nous rajouter une dose de stress quant à l’avenir d’Orion… [/masquer] J’ai trouvé ça trop facile, mal amené, et cela n’a donc pas du tout eu l’effet escompté sur moi. Par contre, j’ai beaucoup aimé les liens entre ce prequel et le livre initial, avec cette rencontre des 2 personnages principaux avec Rufus et Matteo, les héros du premier roman, alors qu’ils sont encore enfants !

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gumsworld

3.00 sur 5 étoiles

• Il y a 1 mois

J’ai commencé Le premier qui meurt à la fin après avoir lu une critique du premier tome qui affirmait que le préquel était meilleur (notamment au niveau du style). J’avais trouvé l’idée de Death Cast assez intrigante, ce qui m’a donné envie de retenter l’expérience, d’autant plus que mon principal reproche envers Et ils meurent tous les deux à la fin était son style trop familier. Bonne nouvelle : l’écriture de ce préquel est bien plus agréable à lire. Pourtant, je n’ai pas été aussi conquise que je l’espérais. L’histoire suit Valentino et Orion lors du lancement de Death Cast, ce qui offre un regard intéressant sur les débuts de l’entreprise. Les deux personnages sont attachants, et leur relation, qui se construit au fil de cette journée, est touchante. Cependant, j’ai ressenti beaucoup moins d’émotions que dans le premier tome. Même si la mort à la fin m’a un peu surprise, elle ne m’a pas bouleversée autant que celles de Mateo et Rufus, qui, elles, m’avaient arraché quelques larmes. Autre point négatif : la multiplication des points de vue. C’était déjà un aspect qui m’avait dérangée dans le premier tome. J’aime qu’un récit se concentre davantage sur ses protagonistes, or ici, certains personnages apparaissent trop brièvement pour qu’on ait le temps de s’attacher à eux. J’ai eu l’impression qu’on dispersait mon attention inutilement. Au final, je ne regrette pas ma lecture, mais je ne poursuivrai pas mon aventure dans cet univers.

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lldambre

3.00 sur 5 étoiles

• Il y a 2 mois

Malheureusement je n’ai pas autant apprécié que le premier tome . J’ai trouvé qu’il y avait trop de chose identique que sur le premier et c’est dommage . L’histoire d’amour , les personnages et l’intrigue sont pareil . Je n’ai pas eu d’émotions……..

arthur_jabo

5.00 sur 5 étoiles

• Il y a 2 mois

Le premier qui meurt à la fin est le prequel de “Et ils meurent tous les deux à la fin” par Adam Silvera. Après ma lecture du premier tome j’étais impatient de ma plonger dans cette histoire malgré les larmes que j’ai versé lors de ma précédente lecture. Si Mateo et Rufus m’ont attendri et boulversé, je me suis senti vidé en lisant cette histoire de Orion Pagan et Valentino Prince. Petit retour dans le temps, cette histoire (en 2010) de passe quelques années avant la rencontre de Mateo et Rufus (2017). Ici Orion Pagan se bat avec une maladie qui lui laisse une épée de Damoclès au dessus de la tête. Une condition de santé qui ne l’empêche pas de vivre non plus. De son côté Valentino Prince emménage à new York pour devenir mannequin. Mais aujourd’hui c’est surtout le jour du lancement de Death Cast, l’entreprise qui annonce pouvoir prédire la mort de gens 24 heures à l’avance. Pour l’occasion, Orion comme Valentino se rendent à Times Square pour voir le décompte avant le premier appel. C’est notamment à ce moment là que les deux vont se rencontrer mais, cet instant de joie sera entaché d’un appel qui changera leur destin. Qu’est ce que je me suis attaché à ces personnages, leur duo est d’une fraicheur telle qu’on en oublierait comment tout à commencé. L’envie de vivre se ressent à travers les pages, on sent que chacun regrette cet appel mais ils sont déterminés à vivre cette dernière journée à 100%. Ce que j’ai notamment apprécié c’est cette vie “sans Death Cast”, alors que le tome 1 montrait des musées, applis, etc. conçus pour cette situation. Ici Orion et Valentino, déambulent dans New York comme deux visiteurs. J’ai adoré la rencontre avec la famille d'Orion qui n’est finalement encore qu’un apport d’amour et de joie de vivre dans ce récit. Je me suis retrouvé en eux deux (peut-être parce qu’ils sont un peu plus vieux que Mateo et Rufus). Il y a également de nombreux coup d’œil au tome précédent qui ne manqueront pas de vous faire couler une larme. Mais si Orion et Valentino sont au centre de cette histoire, je me suis senti si investit dans les histoires des personnages secondaires (dont quelques scènes sont dures à lire). On en découvre aussi pas mal sur Death Cast, notamment son fonctionnement interne sans pour autant répondre à la question : Comment fait Death Cast pour savoir ? La fin est, pour moi, encore plus difficile que le tome d’avant. On ose presque ne plus passer les pages comme pour stopper le temps et les garder en vie. J’ai mis quelques heures à m’en remettre après. Encore une fois, prenez des mouchoirs avec vous, vous en aurez besoin.

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Fiche technique du livre

  • Genres
    Ado & Young Adults , Romans adolescents 13+
  • EAN
    9782221265581
  • Collection ou Série
    Collection R
  • Format
    Grand format
  • Nombre de pages
    600
  • Dimensions
    216 x 137 mm

L'auteur

Adam Silvera

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