Les Mandible Une famille 2029-2047 : Le livre de Lionel Shriver

<< Lionel Shriver se sert de ses personnages pour examiner les aspects humains les moins reluisants. Avec aussi une profonde tendresse. >>|Frédérique Roussel

<< Avec une belle fluidité, Lionel Shriver passe d'un point de vue à l'autre, éclairant les situations sous différents jours de manière comique. [...] Un roman réjouissant d'esprit et d'inventivité. >>|Corinne Renou-Nativel

" Nous ne sommes qu'à treize ans du futur tel que nous le présente Lionel Shriver dans Les Mandible, roman pour lequel elle a créé un nouveau genre inquiétant : la dystopie économique... On le sait, Lionel Shriver n'est pas le genre d'auteur à laisser ses sujets remonter gentiment à la surface. Elle s'en saisit avec une férocité quasi-animale et en interroge le moindre aspect. Son nouveau roman, ébouriffant d'intelligence et de satire, est tout autant classique en ceci qu'il sert de véhicule à une enquête politique et sociale, qu'extrêmement troublant... Si Shriver a toujours eu une longueur d'avance sur le commun des mortels, cette œuvre la consacre comme la Cassandre des lettres américaines. À la manière de Cartographie des nuages de David Mitchell ou Lady Oracle de Margaret Atwood, Les Mandible nous dépeignent un monde à la fois complètement familier et horriblement altéré. "

" Lionel Shriver a bâti sa réputation sur sa capacité à s'attaquer de front aux sujets les plus brûlants, ici, les conséquences de l'effondrement économique. Situé dans un futur très proche, le roman dépeint les tourments des autrefois prospères Mandible et leur chute inexorable dans la misère, la délinquance et la prostitution. "

" Une satire cinglante, brillante, ironique des théories du complot et autres patates chaudes politiques. Le genre de livre qui, à première vue, vous fait ricaner jusqu'à ce que vous réalisiez qu'il décrit une réalité hélas bien trop crédible. "

<< D'une lumineuse intelligence, Lionel Shriver signe une ucronie qui imagine la vie en 2047. Effondrement du dollar, manque d'eau, et un monde qui s'écroule. Le tout écrit avec humour. Noir de noir ! >>|Anouk Van Gestel

<< Lionel Shriver décrit avec causticité et désenchantement les effets d'un marasme et nous interroge sur notre capacité à survivre et nos valeurs, quand tout s'écroule. Un roman captivant. >>|Anne Michelet, Valérie Robert et Emmanuelle de Boysson

<< Quand l'acerbe romancière américaine s'essaie à l'anticipation politique, cela donne un genre d'economic fiction au scénario implacable et d'un réalisme frappant. [...] Dans ce roman spéculatif et sombre, Lionel Shriver observe avec férocité et humour noir les effets concrets d'une crise financière générale, pour interroger les liens entre l'argent et la morale. >>|Véronique Rossignol

<< Séismologue redoutable des convulsions contemporaines, Shriver n'épargne rien au clan des Mandible. >>|Cécile Lecoultre

<< Ample, puissamment politique et désespérément drôle, Lionel Shriver n'a décidément peur de rien. >>|Sophie Joubert

<< Troublant, parfois dérangeant, Les Mandible voit une Lionel Shriver à la fois féroce et lucide confronter l'humain à l'effondrement économique. Qu'en sera-t-il de la solidarité et de la liberté ? Ce roman sombre, parfois dérangeant, ambitieux, porté par un scénario implacable, fait froid dans le dos. C'est pourtant demain. C'est déjà aujourd'hui à certains égards. >>|Geneviève Simon

<< Une dystopie libertarienne menée de main de maître. >>|Olivier Maulin

<< Un roman d'anticipation qui fait froid dans le dos. >>|Isabelle Potel

<< Brillant et inquiétant. >>|Tamara Bongard

<< Pessimiste incurable, la romancière met en scène une civilisation qui se dissout à grande vitesse. >>|Sophie Pujas

<< Lionel Shriver explore minutieusement tous les aspects de la lutte pour la vie dans cette décapante dystopie qui invite surtout à réflechir au monde dans lequel nous vivons aujourd'hui. Aussi terrifiantes soient les perspectives d'avenir imaginées par la romancière en grande forme, on ne peut s'empêcher de sourire devant son mordant qui jamais ne lui fait défaut. >>|Françoise Dargent

<< Un tour de force qui fait froid dans le dos. Et si ça nous arrivait ? >>|Françoise Feuillet

<< On ne lâche pas ce pavé, fasciné par la vraisemblance de ces projections dystopiques. Anxieux s'abstenir ! >>|Anne Berthod

<< Il est difficile de ne pas être glacé par le récit qui se met en place peu à peu. Lionel Shriver fait partie de ces écrivains qui se font un style de ne pas en avoir et préfèrent la vérité d'une expression à la beauté d'une phrase. Cette apparente neutralité cache une justesse d'analyse remarquable. [...] La dystopie a rarement été à la fois aussi lucide et aussi proche. >>|Hubert Prolongeau

<< Peu d'écrivains peuvent se targuer de surprendre leurs lecteurs avec la même constance que Lionel Shriver. L'Américaine jongle entre les genres et les sujets, et les explore d'une manière invariablement étonnante, poussant personnages et lecteurs dans leurs retranchements, jouant avec les peurs les plus profondes et les sentiments les moins avouables à l'aide d'une intelligence implacable, qui s'appuie sur une puissance romanesque mettant un point d'honneur à ne pas se répéter. >>|Raphaëlle Leyris

<< La force des grands écrivains, c'est d'avoir une vision du monde, de nous mettre en garde contre toutes les dérives. Lionel Shriver est de cette trempe là. >>|Bernard Babkine

<< Lionel Shriver passe tout au lance-flammes. Reste à espérer que cette peinture brillante d'un avenir effrayant, provoque des électrochocs salutaires. >>|Marion Rudlove

<< Une effrayante distopie politique qui est aussi un chant d'adieu à l'ère matérielle. [...] L'auteur d'il faut qu'on parle de Kévin aime décidément jongler avec nos peurs. >>|Emily Barnett

<< Lionel Shriver nous plonge dans une satire d'un réalisme brut, une "dystopie économique" qui s'apparente à la réalité de demain matin. Elle brosse le tableau d'un monde aveuglé par un confort qui l'empêche de regarder ailleurs, un pouvoir bancaire qui se croit tout permis. Sans argent, sans échange monétaire, sans impôts ni pensions, il ne reste plus que les théories du complot pour tenir la population. Effrayant et plausible, Les Mandible est une parabole sauvée par l'humour, la description romanesque du pire. >>|Christine Ferniot

<< Un pavé brillant, voire un peu clignotant. Il n'en finit pas de jouer avec les codes, ceux de la science-fiction, ceux de la saga familiale. >>|Thomas Stélandre

<< Une dystopie mordante. [...] Toujours fine observatrice, Lionel Shriver nous tient en haleine en dépeignant la chute d'un système et la déchéance d'une famille. >>|Fanny Del Volta

<< Une dystopie glaçante et implacable. >>

<< Une fresque futuriste dont on sort ébranlé. >>|Alexandre Fillon

<< Lionel Shriver explore minutieusement tous les aspects de la lutte pour la vie dans cette décapante dystopie qui invite surtout à réfléchir au monde dans lequel nous vivons aujourd'hui. Elle excelle dans cette mise à nu d'une famille frappée par la catastrophe, en se coulant dans la tête de tous les protagonistes. Aussi terrifiantes soient les perspectives d'avenir imaginées par la romancière, on ne peut s'empêcher de sourire devant son mordant qui jamais ne lui fait défaut. >>|Françoise Dargent

<< Réaliste, féroce, intelligente, cette fable fait froid dans le dos. >>|Delphine Peras

<< Un étonnant roman futuriste et satirique. [...] Lionel Shriver réussit un étonnant mélange entre anticipation, réflexion sur l'économie mondiale et fine observation des liens familiaux. >>|Eric Bulliard et Eva Vermandel

<< Une délectable saga anti-politiquement correcte. >>|Marguerite Baux

<< Lionel Shriver poursuit, d'une plume impitoyable, sa mise à mort du rêve Américain. [...] Elle éclaire le fonctionnement de l'économie mondialisée, tout en mettant en scène, avec son acuité coutumière, la jalousie et l'aigreur mais aussi l'amour et le sens du sacrifice qui gouvernent une famille face à l'apocalypse. >>|Minh Tran Huy

<< Attention, Lionel Shriver n'est pas là pour vous remonter le moral. [...] L'État et sa politique interventionniste en prennent pour leur grade dans le roman de Lionel Shriver, qui sonne parfois comme un avertissement. [...] Une critique acerbe des dérives économiques de ces dernières années. >>|Flavie Gauthier