De si remarquables créatures : Le livre de Shelby Van Pelt

Le commentaire de Lynda : #9829; Coup de cœur #9829; Quel merveilleux roman qui nous raconte une superbe histoire, ça vous sera impossible de ne pas vous accrocher à cette histoire et de vivre comme moi un beau coup de cœur ! Bon continuer à lire, même si vous allez croire que c'est complètement stupide que le personnage principal de cette belle histoire est une pieuvre géante, Marcellus qui est pensionnaire de l'aquarium de Sowell. Marcellus a trouvé le moyen de sortir de son bassin, et de fureter ici et là, à droite et à gauche, pas question tout de fois, d'aider n'importe lequel de ces humains, pas étonnant qu'il grossisse à vue d'œil avec ces arrêts fréquents à la cafétéria. Jusqu'au jour où Tova, agente d'entretien, va lui filer un coup de main pour le sortir d'un mauvais pas, qui est Tova, et bien Tova est une veuve de 70, qui a perdu son seul fils il y a une trentaine d'années, dans un accident de bateau. Elle a quand même continué sa vie du mieux qu'elle le pouvait, et la vie a fait en sorte qu'elle devienne une merveilleuse écoute pour ceux qui en avait besoin. C'est Marcellus qui fera en sorte d'aider Tova avec ce deuil qu'elle n'a jamais accepté, la mort de son fils. Dans toute cette histoire, on apprend plein de choses surtout sur Marcellus le poulpe, sa durée de vie, qu'il a 3 cœurs, etc. Au cœur de cette belle histoire, il ne faut pas oublier Cameron, un trentenaire paumé qui côtoie Tova, celui-là, je l'ai trouvé quand même détestable même si à quelque part, on finit par l'aimer. Entre ces 3 personnages, Tova, Cameron et Marcellus, notre cœur est accroché bien solidement, mais mon cœur va à Marcellus, je suis tombé en amour, complètement. Tout au long de la lecture, on alterne dans nos émotions, une minute, on rit, et une minute plus tard, les larmes montent presque aux yeux. J'ai adoré tout, tout, tout, du début à la fin, mais j'avoue que la fin m'a vraiment laissé en larmes. Je vous recommande ce gros coup de cœur, et je vous garantis que Marcellus va voler votre cœur et que vous ne pourrez plus l'oublier !

Je suis tombé sur ce livre par hasard et sa couverture m'a bien plu.. Me voila à suivre la vie de Tova, une vieille femme de ménage travaillant dans un aquarium, dans lequel vit Marcellus un fantastique poulpe géant très intelligent qui nous raconte sa captivité, et Cameron un trentenaire un peu paumé. J'ai adoré ce roman

Voila des mois que j'entends parler de ce roman et je me suis enfin laissée tenter. Je suis tellement triste de l'avoir fini, triste d'avoir du dire au revoir a Marcellus, Tova ou encore Cameron. Ce livre est juste magnifique et m'a énormément touché. Tova, une vieille dame de 70 ans, travaille toujours a l'aquarium et y fait le ménage chaque soir. Elle va être amenée a sauver un poulpe et va découvrir que l'animal est capable de la comprendre mais est aussi extrêmement intelligent. En parallèle, on fait la connaissance de Cameron, un jeune trentenaire paumé qui part a la recherche de ses origines. C'est un roman incroyablement bien construit, si au départ on a du mal a faire le lien entre tous les personnages, très vite les pièces du puzzle s'emboitent pour former une belle galerie de personnages très attachants.

Oh comme j’ai adoré ce roman !! En trois mots : original, émouvant, épique. Original car on fait la connaissance de Marcellus. Le poulpe grognon aux cœurs tendres. On apprend beaucoup sur lui et ses compatriotes. J’adore. Il a droit à un petit chapitre régulier avec un petit compte de vie, de lubies, d’aventures. Son intelligence dépasse la raison. Émouvant car il parvient à capter l’attention de Tova. L’agente d’entretien de l’aquarium, toute aussi sensible qu’attentive aux moindres détails. Et c’est là que l’histoire devient épique, lorsque les liens s’intensifient entre eux et que leur alliance va sceller leur destinée. Ils vont tenter de s’entraider mais de façon totalement instinctive et aléatoire, de plus le temps leur est compté. C'est mon coup de cœur de ce début d'année et j'aime bien commencer l'année ainsi. Et ... “De si remarquables créatures” ne sont pas forcément celles que l’on croit.