" Un roman d'une grande subtilité, à la fois tragique et teinté d'humour. "
Christine Gomariz - Paris Match
"Un livre magnifique, qui explore les pistes de transmission et du secret. "
Brigitte Hernandez - Le Point
" Passionnant, poignant, admirablement construit, son livre se lit comme un roman. Parce que l'auteur dispose là d'un matériau romanesque en or, certes. Il y ajoute surtout ce supplément d'âme qui fait les grands livres. "
Delphine Peras - Lire
" Jordi Soler, en journaliste, historien, romancier, dévoile la vie engagée et aventureuse de son grand-père, Républicain exilé. Un roman grave, émouvant et picaresque. (...) Les Exilés de la mémoire surprend à la fois par le sérieux de ce qu'il révèle et par son côté roman d'aventures palpitant et distrayant. Cela est dû à sa parfaite documentation, mais aussi à sa forme ; allers-retours incessants sur les deux continents, les deux époques, les deux principaux protagonistes, les divers témoignages qui finissent par créer une sorte de polyphonie. Au-delà du rapport affectif, sensible, qui lie Arcadi à son petit-fils, il y a aussi la lucidité de ce dernier qui s'abstient d'en faire un héros inoxydable. Il montre comment Arcadi a vécu par la défaite de ses idéaux, l'exil, une blessure inguérissable qui transforma sa vie au point de la nier. "
Dominique Aussenac - Le Matricule des Anges
" Jordi Soler relate avec subtilité et humour le destin de son grand-père espagnol, antifranquiste parti se perdre dans la jungle mexicaine après la défaite républicaine de 1939. (...) Un récit subtil, attentif, dramatique et drôle de la trajectoire de son aïeul. (...) Judicieusement, Jordi Soler rebat les cartes de cet exil, fait des sauts de puce et des entrechats de géant entre les lieux, les époques, les destins. Les souvenirs de guerre d'Arcadi, le vétéran, dialoguent avec ceux de l'enfant mexicain que Jordi Soler lui-même fut à ses côtés, immergé jusqu'à ses 12 ans dans cette bizarroïde colonie catalane fondée par son aïeul au Mexique. "
Fabienne Dumontet - Le Monde des Livres
" Outre la mémoire de l'exil, ce roman passionnant évoque tout un pan d'histoire méconnue ou occultée tout en insérant, avec force d'anecdotes croustillantes, une savoureuse dose de fiction. "
Michael Mélinard - L'Humanité Dimanche
"On sort de ce récit faussement décousu et palpitant un brin sonné et ému. Jordi Soler, en redonnant vie à une histoire si proche mais encore trop méconnue, lui rend sa douloureuse ironie mais aussi son humanité, synonyme d'espoir. Après avoir été défait, on peut renaître ailleurs, être et refaire sa vie. "
Philippe Chevilley - Les Echos
" On est vite happé par cet audacieux mélange de points d vue autobiographiques et de restitutions historiques. C'est toute une époque qui surgit, nourrie par une réflexion sur la façon dont les rmeous de l'histoire interfèrent dans les destins individuels. "
Faustine Fayette - Le Spectacle du Monde
" Un récit poignant, drôle, émouvant, cruel parfois. "
François Charcellay - Le Midi Libre
" Un récit historique, mêlant habilement l'histoire, l'autobiographie et la fiction. (...) Un livre vif mais poignant qui fait remonter par vagues successives toutes les douleurs d'une injustice : l'exil. "
Jacques Sterchi - La Liberté (Suisse)
" Un texte où, d'aventure en drame, de déchirements en retrouvailles, se joue une épopée familiale (...). Drapée des atours d'une construction maitrisée, de sentiments et d'humanité, l'Histoire sort grandie d'une alliance avec la fiction qui ne peut que la servir, n'en déplaise à certains. "
Geneviève Simon - La Libre Belgique
" Il arrive qu'on se heurte à une lecture qui nous saisit et nous transporte, qui nous fait sentir et réfléchir, qui nous ébranle et nous fige sur place comme une crampe. Cela m'est arrivé cette semaine, et le livre s'appelle Les Exilés de la mémoire. "
Ignacio Martínez de Pisón - Heraldo de Aragón
" C'est désormais une certitude : cet excellent romancier sait raconter des histoires, et a un flair inégalé pour jouer avec la structure et le temps, tout en conservant une harmonie, de sorte que le passé et le présent, le Mexique et la Catalogne, eux et nous, se croisent et se renforcent ; comme s'il n'y avait pas de meilleure manière que la sienne, plus efficace et plus sensible, de raconter ces histoires. "
Jordi García - El País/Babelia