Nous ne sommes pas nous-mêmes : Le livre de Matthew Thomas

"Fresque historique, saga familiale, étude sociologique, épopée moderne, roman autobiographique, le premier livre de Matthew Thomas est si complet et si riche que les qualificatifs ne manquent pas."
|Jean-Nicolas Berniche

"Ambitieux et poignant."
|Anne Demangeat

"Incontournable"
|Brigitte Kernel

"Comme une pièce de menuiserie travaillée à la main, le premier roman de Matthew Thomas est imprégné dans chacune de ses fibres d'une éblouissante humilité romanesque."
|Romane Lafore

"Un premier roman qui annonce la naissance d'un futur grand des lettres américaines."

" Nous ne sommes pas nous-mêmes séduit par un punch émotionnel d'un étourdissante précision."|Cécile Lecoultre

"Un magnifique moment de lecture."|Jean-Claude Vantroyen

"Ce premier roman dépeint avec hardiesse une classe moyenne dont les rêves d'ascension ont généré autant d'individualisme que de confusion. Ambitieux et juste."|Fanny Del Volta

"Une révélation. Epique, tendre, cruelle, traversant toute la deuxième moitié du XXe siècle, cette oeuvre bouleversante interroge l'American Dream et rappelle les plus belles heures du grand roman américain."

"Le récit poignant et inoubliable d'une lente descente en enfer. [...] On lit ici les murmures de la vie du monde et de l'Amérique. On n'a jamais écrit l'avant et l'après Alzheimer avec tant de justesse et de psychologie. Et tant d'empathie."|Yves Viollier

"Tout y est : la grâce, l'émotion, le souffle, la passion, la maladie, l'époque, la société... Déjà un classique."|Serge Bressan

"Matthew Thomas sait conduire son intrigue en créateur, évitant les larmes faciles et la leçon de vie. [...] [Une] oeuvre ambitieuse, à la manière des grandes épopées sociales du siècle dernier."|Christine Ferniot

"Une fresque ambitieuse de la classe moyenne et de ses déceptions au cours de la seconde moitié du XXe siècle. [...] le livre retrace avec une grande humanité le cours de destins malmenés. Une épopée pleine de rebondissements et de sollicitude."|Stéphanie de Saint-Marc

"Une radioscopie vibrante de la middle class de l'Amérique du XXe siècle. C'est une histoire du quotidien soudain enrayé par la maladie mais toujours empreint d'une grâce inouïe, tant les personnages sont beaux et déchirants. Un roman inoubliable que même Alzheimer ne saurait effacer."|Olivia Mauriac

"Ralentir chef d'oeuvre ! [...] On se dit en refermant la dernière page que l'auteur se place du côté des Jonathan Franzen, Pat Conroy, John Irving, William Styron, ou John Steinbeck, autant par la force du récit proposé que par la propension à faire surgir de sa plume un monde à la fois réaliste et onirique. [...] C'est beau, ample, d'une fantaisie et d'une rigueur narrative inoubliables, c'est rempli de compassion, et c'est sans complaisance sur les dysfonctionnements de la société américaine. Le roman d'un (déjà) géant des lettres Outre-Atlantique."|Jean-Rémi Barland

"Un chef-d'oeuvre, qu'on ne lâche pas une fois commencé !"
|Samuel Loutaty

"La grande histoire américaine se fond dans ce destin magistral, mélange de charges émotionnelles puissantes et de failles individuelles tapies sous l'image que l'on donne de soi."
|Frédérique Brehaut

"Eileen Tumulty est une jeune fille pleine d'ambitions, qui entend bien accéder au rêve américain.
Contrairement à sa mère qui noie son chagrin dans l'alcool, une vie pleine de promesses s'offre à elle quand elle rencontre un jeune scientifique à l'avenir prometteur...

Une belle fresque familiale toute en demi-teinte, dans laquelle les rêves sont parfois bien loin de la réalité."|Laure SIMOES

"Pas une ligne des quasi-800 pages de ce pavé existentiel n'est gaspillée, improvisée, bâclée. C'est un roman parfaitement classique, linéaire, et pourtant d'une modernité absolue. Traversant toute la deuxième moitié du XXe siècle, interrogeant l' American Dream et les fondements d'une société basée sur l'immigration, il fend le coeur, à chaque page : c'est que Matthew Thomas a trouvé une écriture, clairvoyante et subtile, qui se place au plus près, au plus juste de l'émotion de chacun des personnages. Le va-et-vient constant entre l'intimité précise, concrète, individuelle des personnages et le vaste mouvement impassible de l'univers tire des larmes."|Isabelle Falconnier

"L'écrivain ne donne jamais dans la complaisance. Loin d'être des super-héros, ses personnages sont faillibles, agaçants parfois. Leur seul super-pouvoir, c'est leur humanité. Sans manichéisme aucun, Matthew Thomas décrit le métissage, la paupérisation des banlieues et démonte les failles du système social et de santé de son pays. [...] Leçon d'espoir, leçon de vie, ce livre entré dans le coeur comme par effraction laisse la gorge serrée. Après l'avoir lu, vous ne serez plus vous-mêmes."|Philippe Chevilley

"Cela fait un moment que le " rêve américain " a du plomb dans l'aile. Ce superbe et ambitieux roman traversé d'émotions fortes en est un révélateur. Que ses près de 800 pages n'arrêtent pas les lecteurs. Cette chronique familiale est passionnante et avec elle Matthew Thomas s'inscrit d'entrée dans le cercle des grands auteurs américains."|Sylvie Lainé

"Un premier roman audacieux et profond."|Eliane Girard

"Impossible de décrocher de ce pavé tant il vous happe !"|Elsa Margot

"À travers un récit à la fois épique, tendre et cruel,un magnifique portrait de femme, celui d'Eileen Leary, fille, épouse, mère, courageuse et entêtée, prête à tout pour assouvir ses rêves mais toujours dévouée aux siens. Un très beau premier roman, captivant !"|Marie-Christine Luton

"Une fresque haute en couleur qui interroge sur la réalité de l'American Dream."|Amélie Cordonnier