Perdre la tête : Le livre de Heather O'Neill

" Ce roman bouillonnant, long mais très maîtrisé, se lit comme une fable féministe sur le pouvoir émancipateur et révolutionnaire des livres. "|Pauline Le Gall

" Ce qui est formidable dans ce roman, c'est...tout ! "

" Un roman captivant et sulfureux. "

Les coups de cœur de la rédac' : " Dentelles et coups bas, c'est extra ! "

" L'auteure canadienne épate dans cette captivante saga célébrant l'amitié féminine. "

" Roman foisonnant campé dans deux quartiers de la Montréal fantasmée de la révolution industrielle, le Mile doré et le Mile sordide, Perdre la tête alterne entre l'opulence et la misère, entre le sublime et le grotesque, entre l'innocence et la dépravation. "|Manon Dumais

" L'écrivaine montréalaise nous offre ici un ouvrage peuplé de femmes puissantes, intelligentes, ambitieuses, cruelles, issues de différents milieux ; des personnages auxquels on s'attache dès les premiers chapitres. Heather O'Neill soulève les questions de genre et de pouvoir. Fidère à son style, elle nous projette dans un Montréal du XIXe siècle où tout peut arriver, comme dans un conte de fées. Voilà un livre bonbon de 504 pages qu'on savoure du début à la fin. "|Léa Harvey

" Perdre la tête est de ces romans où on pénètre, d'abord incertain, mais dont la force du récit, les personnages plus grands que nature et l'univers romanesque fantaisiste ont tôt fait de nous prendre dans leurs filets. "|Iris Gagnon-Paradis

" Des personnages hauts en couleur, une atmosphère inquiétante, une plume inventive, bref, un roman succulent ! "|Caroline Gauvin-Dubé

" C'est une révolte, on sent que ça gronde tout le temps, c'est palpitant et en même temps c'est très insolite et sensuel. C'est vraiment un livre que j'ai trouvé incroyable [...] et délicieusement inclassable. "|Chrystine Brouillet

" Combats féministes, sociaux et drames familiaux sont au cœur de ce roman à l'univers fantasque, engagé et toujours nuancé par l'humanité des femmes qui l'habitent. Une lecture magnétique ! "|Tiphaine

" C'est magique, c'est délicat, c'est un monde extraordinaire, un peu décalé. [...] C'est toujours un peu fou, un peu fiévreux. [...] C'est vraiment une histoire qui est féministe, qui va inventer une espèce de révolution sexuelle, une révolution ouvrière, menée par les femmes de Saint-Henri, et ce, bien avant que ça ait eu vraiment lieu au Québec. [...] C'est sombre, c'est aussi chatoyant et fougueux, c'est un objet précieux ce roman. "|Claudia Hébert

Récemment, j'ai beaucoup aimé le dernier roman d'une écrivaine anglo-montréalaise qui s'appelle Heather O'Neill. Le roman s'intitule "Perdre la tête". C'est un roman très, très politique, très social. Un peu pervers aussi. J'ai beaucoup aimé ça. |Kevin Lambert, lauréat du prix Décembre pour "Que notre joie demeure" (éditions du Nouvel Attila)