Une vie de racontars : Le livre de Jørn Riel

"Quand Donald Trump menace de prendre le Groenland par la force." RadioFrance, le 15/01/25... ll n'y a que l'ours blanc qui s'étonne que sa banquise fonde Ça ne surprend plus personne, de notre côté du monde Quand un CLOWN s'enrhume, le Groenland tousse..." John Riel a déjà abattu un éléphant de mer, pas un éléphant républicain comme le "Donald" ou je me Trump? Une vie de racontars alors? Il a tiré sur son premier ours... "Nanungniaq" !Fait Ugge en riant. Cela voulait dire « chasseur d'ours », et son rire semblait suggérer qu'il y avait quelque chose de comique dans ce mot. A une cinquantaine de mètres, 'ours me regardait fixement et mes jambes se mirent à trembler quand je croisai son regard. Ses yeux étaient injectés de sang par la rage, et j'étais proche de l'évanouissement quand il ouvrit la gueule pour pousser un rugissement de bienvenue si terrifiant que même les plus vieux chiens chasseurs d'ours tendirent l'oreille..." "Et ce monstre se baladait toute l'année dans la région, se distrayait en brisant de petits crânes ronds de phoques, en cueillant des myrtilles et en bouffant des chasseurs et des explorateurs. " Et aussi sur des oies sauvages : "Deux oies canadiennes, abattues le 12 mai 1954, par 2 chasseurs isolés en état de "légitime défense ", écrivit le garde, en dégustant l'oie rôtie! Il y a de la poésie dans ce livre... "L'été, l'eau paisible et scintillante, qui par mauvais temps adoptait une couleur gris plomb, tirant sur le noir, chevauchée par l'écume blanche. Un fjord avec des baleines blanches brisant la surface de l 'eau, des phoques curieux et d'innombrables passages d'oiseaux ". Et aussi, quand un chien de traineau déchire la jambe de son pantalon, John flanque un coup sur la tête de l'animal, avec une bouteille de schnaps.Le chien recula en titubant, surpris. - Ne refais plus jamais ça, gémit Urban, le propriétaire du chien. Imagine si la bouteille s'était cassée!