La Femme qui reste : Le livre de Anne de Rochas

"Il y a une vraie performance dans ce premier roman : l'imbrication de la fiction et du réel. (...) Tous les détails comptent et la précision même dans les sentiments apporte de la dimension au texte. Le vrai fil rouge, et pour moi, c'est une intelligence, c'est le Bauhaus. (...) C'est un beau livre sur l'amitié, l'amour, la fuite, les décisions que l'on doit savoir prendre dans la vie."|Sylvie Couderc

"C'est en 1920, alors qu'elle sort très affaiblie de la Première Guerre mondiale, que l'Allemagne voit naître le Bauhaus, un courant artistique et sociétal qui réfléchit à l'idée d'un renouveau. Dans ce contexte, Clara, Theo et Holger font connaissance sur les bancs de l'école et forment très vite un trio amical à l'ambiguïté amoureuse. Une femme, deux hommes, une équation impossible à résoudre et pourtant...
Cette insouciance, cette envie de changement sont très rapidement obscurcies par les résurgences d'une Allemagne pangermaniste et par l'arrivée d'Hitler au pouvoir. Comment, dans ce contexte, rester fidèle à ses engagements et les tenir dans la durée ? Difficile de faire les bons choix et de continuer à mener son existence comme si de rien n'était. Certains décident de fuir loin pour oublier et pour se construire, quand d'autres s'acharnent à rester. Les convictions peuvent être mises à mal quand le contexte met à l'épreuve.
Dans ce roman fluide et maîtrisé, Anne de Rochas restitue parfaitement bien l'ambiance, l'atmosphère de cette Allemagne tellement pleine d'espoir et la chute qui a finalement eu raison d'elle. Une lecture agréable, rythmée, au charme suranné !"|Claire / CHOIX FONTAINE

" Dans La Femme qui reste, qui aurait pu s'appeler Le Monde de Clara, l'auteur mêle avec bonheur souffle romanesque, élégance du style et précision historique irréprochable. Un grand livre."|Gérard de Cortanze

"À travers la figure de son héroïne, Anne de Rochas nous plonge dans la passionnante effervescence du Bauhaus [...]. On y découvre le bouillonnement créatif de cette avant-garde architecturale et artistique, les passions de toute nature qu'elle déclenche [...]. On y croise de nombreuses figures majeures, comme les peintres Paul Klee et Vassily Kandinsky qui y ont enseigné. On s'attache au destin de cette femme courageuse qui rejoint le Bauhaus à force de volonté et de ténacité, vit une double et douloureuse passion amoureuse et résiste coûte que coûte dans une Allemagne qui s'enfonce dans les ténèbres."|Manuel Hirbec

"Coup de coeur de la rentrée."|Stéphanie Lohr

"Coup de coeur"|Isabelle Potel

"À travers les destins de ses personnages, Anne de Rochas tisse et raconte en filigranes, dans un style élégant et poétique, l'histoire du Bauhaus, soulignant avec délicatesse l'importance des femmes, comme Otti Berger ou Marianne Brandt, qui participèrent à l'aventure de ce mouvement dans l'ombre des maîtres."|Marie Zawisza

" Avec " La femme qui reste ", Anne de Rochas signe un pavé étincelant sur l'école d'art et de design mythique des années 1920. Un livre qui recèle mille trésors. "|Flavie Philipon

"Dans le temple de l'art, trois jeunes gens mêlent leurs amitiés et leurs amours ainsi que leurs convictions artistiques et politiques."|Martine Freneuil

"Ce roman à la fois doux, extravagant, violent, est un hommage bouleversant à l'amitié et à l'art contre la barbarie. Un premier roman envoûtant."|Isabelle Potel

"En mêlant fiction et réalité dans cette fresque qui couvre soixante-dix ans de l'histoire allemande, Anne de Rochas signe un joli roman autour des choix de vie."|Héloïse Goy

"Inventant des dialogues qui sonnent juste, la romancière pétrit les faits authentiques dans une pâte vivante où les affaires de coeur comptent autant que les batailles artistiques et les combats politiques. Un siècle après, elle apporte un point de vue nouveau, donnant toute leur place aux Bauhausmädels, ces "filles du Bauhaus" trop longtemps oubliées."|Xavier de Jarcy