Les fabuleuses aventures d'un Indien malchanceux qui devint milliardaire : Le livre de Vikas Swarup

" Vikas Swarup a mis sa connaissance de diplomate au service d'un formidable talent de conteur. Il mène ces tribulations tragi-comiques d'un pas allègre, si bien qu'en dépit de la violente réalité qui les sous-tend l'énergie revigorante de ses personnages nous contamine. "
Jeanne de Ménibus, Madame Figaro

" Ce conte moderne et grinçant révèle une société indienne au carrefour des contraires : généreuse et injuste, dynamique et réactionnaire, courageuse et velléitaire, où un jeune garçon des rues, même motivé, ne peut compter que sur un miracle pour s'en sortir. Vikas Swarup est un moraliste joyeusement désespéré. "
Philippe Chevilley, Les Échos

" On rit beaucoup, on s'émeut et l'on frissonne aussi. D'une construction habile, ce premier roman emmène le lecteur dans les tréfonds de la société indienne, des bidonvilles aux villas de Bollywood. [Un] livre [qui] semble lui-même promis à un fabuleux destin. "
C. A., Le Parisien

" Avec un humour décapant et une plume alerte, Vikas Swarup nous conte ces fabuleuses aventures d'un indien malchanceux et rappelle que la fortune sourit aux audacieux. "
Anna Topaloff, Marianne

" Sous la forme de l'enquête biographique pointe un portrait de l'Inde qui ne passe sous silence ni la mendicité, la maltraitance, la prostitution, l'organisation de la société ou le poids des traditions, mais surfe aussi sur l'usine à rêve bollywoodienne. Happy end guimauve compris. "
F. G., Virgin

" Le premier roman de l'Indien Vikas Swarup est extraordinaire. Au fil des treize questions la construction du personnage principal devient un suspense bien plus prenant encore que celui de sa fortune croissante - qui peut disparaître à la première erreur. La mécanique est imparable. Elle happe tout lecteur normalement constitué et fait de Ram un véritable héros de notre temps, capable de déjouer tous les pièges médiatiques avec ses propres atouts, rassemblés au cours d'une pauvre vie... très riche. "
Pierre Maury, Le Soir