Les filles comme nous : Le livre de Daphne PALASI ANDREADES

" Le premier roman de l'Américaine Daphne Palasi Andreades (...) retrace la trajectoire d'une cohorte de filles et de femmes originaires du Queens, quartier populaire de New-York."|Clémentine Goldszal

"Récit d'un passage à l'âge adulte, le roman est aussi un hymne à l'amitié, à l'éclosion du féminisme et une déclaration d'amour au Queens de New York."|Muriel Steinmetz

" (...) Daphne Palasi Andreades a dû mettre beaucoup d'elle-même dans ce premier roman choral ébouriffant, qui explore la question du métissage. "|Léonard Desbrières

"Poétique, émouvant, drôle, ce roman offre une sociologie saisissante de ces " filles à la peau brune " qui n'ont rien en commun mais pourtant partagent tant. Une voix est née."|Clémentine Goldszal

" Pour son premier roman, Daphne Palasi Andreades nous livre un récit construit en forme d'instantanés qui s'accumulent, comme un album de famille, jusqu'à créer un portrait de femme d'aujourd'hui. " |Laure Simoes

"Ce roman brut porte la puissance de l'amitié féminine et interroge tant le poids que le cadeau de nos racines, mais aussi le racisme, le féminisme, la lutte des classes et ce qui fait une vie réussie."

" L'écriture d'Andreades est magnifique, pleine d'assurance. Bien que de nombreuses lectrices puissent s'identifier à elle – certaines expériences semblent directement tirées de mes souvenirs – Andreades réussit à livrer des histoires éclatantes de singularité. "

" Un premier roman addictif. Les Filles comme nous se lit comme on écoute une chanson de rap, un hymne... Il renferme le monde entre ses pages. "

" Les Filles comme nous est un voyage immédiat grâce à ses récits aux multiples facettes. Telle une DJ, l'autrice prend l'aiguille et la repose à des endroits inattendus... Un ouvrage intrépide. "

" Parmi les cinq quartiers de New York, le Queens est comme un petit frère rebelle et sous-estimé. Le premier roman de Daphne Palasi Andreades déconstruit les idées reçues sur le quartier et ses habitants en dressant le portrait kaléidoscopique des jeunes femmes de couleur qui y vivent. Récit choral, lire Les Filles comme nous, c'est comme tomber sur sa chanson préférée à la radio et la chanter à tue-tête. "

" Le premier roman d'Andreades est une histoire unique criée, chantée, hurlée, fredonnée par un "nous', des narratrices à la première personne du pluriel représentant un groupe d'amies du Queens, à New York, à l'aube de leurs vies de femmes. Avec une langue aussi percutante que lyrique et passionnelle, Andreades explore les questions croisées de la féminité, de la race et de la classe. Les Filles comme nous fait naître la voix d'une génération et la cristallise. "

"Hymne à la persévérance j'ai vu ce livre en le lisant, comme, un symbole que si l'on croit réellement à ce que l'on veut on peut tout obtenir. Peut importe nos origines peut importe notre couleur de peau, même si dans la société dans laquelle nous vivons certaines personnes n'ont pas les mêmes chances que d'autres."
|Laurie Djeglou

Une chorale de femmes, au cœur de Queens, à New-York, les voix s'entremêlent pour raconter la vie, le vie de femmes de couleur . Au fil des pages nous écoutons celles-ci dès l'enfance jusque la femme devenue mère ou pas d'ailleurs. Les joies et les peines, les questionnements existentiels autant que matériels, c'est brute autant que poétique. Des rires aux larmes, Les filles comme nous, ce récit nous offre une ode à la femme, la femme de couleur.|Cécile Fontaine

"Saisissant !"|Clémentine Goldszal

"Je suis époustouflée par la maîtrise de ce texte. Quel tour de force !
C'est beau et tranchant. Je ne suis pas prête d'oublier ce livre."|Nathalie Iris

" Les héroïnes d'un premier roman choral vibrant, qui use du " nous " (...) pour chanter le quotidien, le quartier et les rêves de ces enfants d'immigrés naviguant entre les langues et les cultures, l'envie de s'en sortir et l'attachement aux racines, le désir d'ailleurs et l'amour des leurs. "|Minh Tran Hui

"C'est l'autobiographie collective d'une génération. Un premier roman électrisant."|Didier Jacob

" Langue litanie scandée, ce premier roman est un poing levé vers le ciel, une revendication résolument féministe et une réflexion sociale et politique qui prend aux tripes sur les destins pluriels d'un groupe d'amies. " |Nathalie Six

"Un superbe roman de filles fortes et émouvantes, où chacune enchaîne son destin à l'autre."

" Ce " nous " est un unisson, mais toutes les inflexions s'y font entendre. "

|Thomas Jean