Thérapie (opé 30 ans) : Le livre de Sebastian Fitzek

Incroyablement machiavélique ! J'ai pris une claque monumentale. L'histoire de ce psychiatre dont la fille a disparu depuis 4 ans est plus que retors. J'ai mis du temps à comprendre de quoi il retournait pour au final me planter sur toute la ligne quand même ! Tout au long de ma lecture je me demandais s'il était fou ou si on cherchait à le faire passer pour fou. Cette histoire m'a complètement retournée le cerveau et le final est prodigieux ! Tout ceux qui aiment les thrillers psychologique lancez-vous il est incroyable et tellement inattendu.

Viktor Larenz est un célèbre psychiatre berlinois, mais aussi le père déchiré de Josy qui a mystérieusement disparu sans laisser de trace... Ce roman de Sebastian Fitzek vient de se transformer en un coup de cœur ! Je n'étais pas capable de lâcher cette histoire aussi ingénieuse que mystérieuse. Sebastian Fitzek va aborder un grand nombre de thématiques comme le deuil, l'amour ou les maladies mentales, qui sont les axes principaux de son roman. Dès les premières pages, j'ai directement été happé par le récit et son mystère, et les nombreux détails ont attisé davantage ma curiosité tout au long de ma lecture. Mais, le style, la manière dont l'auteur use pour nous conter son récit, n'ont fait que nourrir mon envie de connaître la fin ; une fin dont j'aurais du mal à m'en remettre. Je me suis plongé dans ce roman sans connaître un seul mot de l'intrigue et je n'ai pas été déçu, loin de là ! Les personnages sont travaillés, en particulier celui de Viktor dont l'histoire m'a émue. Thérapie de Sebastian Fitzek va plonger le lecteur dans un brouillard que seules les pages vont pouvoir dissiper. Étant un véritable coup de cœur, je ne peux que vous le recommander !

En un temps pluvieux et venteux, je me suis penché sur un livre que j’avais dans ma PAL depuis longtemps. Sachez-le, je l’ai tant détesté que aimé. Au sein de cette œuvre, nous suivons l’histoire de Franck, un célèbre psychothérapeute allemand, qui n’a pas réussi à faire le deuil de sa fille de douze ans disparue soudainement quatre ans plus tôt après l’avoir emmené chez un énième médecin afin de diagnostiquer sa maladie rare. Un jour, alors qu’il est allé s’isoler seul dans la maison de ces parents défunts située sur une île presque déserte afin de répondre calmement à une interview par mail, une jeune femme frappe à la porte. Elle s’appelle Anna Spiegel, elle se dit romancière mais surtout atteinte d’une forme de schizophrénie rare : les personnages de ces romans prennent vie sous ses yeux. Elle demande l’aide du psychiatre afin de faire face à l’un de ces personnages nommé Charlotte, une jeune fille blonde de 8 ans qui a quitté le foyer de ses parents pour faire face à sa rare maladie. Dubitatif, Franck accepte finalement de prendre en charge Anna. Il ne veut qu’une chose : connaître la suite de l’histoire de Charlotte… Tout d’abord, il est à noter que j’ai trouvé l’intrigue très tirée des cheveux. En effet, c’est une histoire très complexe qui relève d’une créativité assez poussée. Le début de ce roman m’a donc paru très “pénible” de par sa complexité et j’ai honnêtement failli abandonner ma lecture. Puis, très vite, un certain malaise vous prend. La beauté de la plume de Fitzek permet de donner un goût amer à chaque de ces ligne, pour nous, en tant que lecteur, alors que chaque révélations nous parait totalement folles (dans le bon et mauvais sens du terme). Cette lecture m’a personnellement très perturbée. Si je devais citer les principales qualités de cette œuvre, je citerai le suspens et la VIVANT que nous offre l’auteur. En effet, chaque chapitre se termine par un suspens insoutenable, c’est impressionnant (pour preuve, j’ai fini le roman en moins de 12 heures), et chaque personnage nous paraît si vivant, si réel, si humain. Et pourtant… Enfin, encore une fois malgré que cette intrigue soit tirée par les cheveux, l’histoire est bien trouvée (notamment avec une fin inattendue et émouvante) et n’est que captivante. Personnellement, je ne peux que saluer la prise de risque de Fitzek, surtout pour un premier roman. Je recommande sans plus tarder…mais préparez-vous, puis accrochez-vous car vous n’êtes pas près !

Au prologue, j'étais en mode "eh je comprends que dalle", puis ayant déjà lu l'auteur, j'ai fait confiance et je me suis laissée emportée par sa plume. Et arrivée au chapitre 7 (50p) j'avais déjà du mal à lâcher le roman alors qu'on sait toujours rien ! En fait dans ce roman il ne faut pas chercher à échafauder des théories, le cerveau de l'auteur est trop complexe pour qu'on comprenne comment il fonctionne. Je me suis laissée portée par la rédaction (pas envie de parler de plume car c'est une traduction) et l'enchaînement des courts chapitres. Malgré moi j'ai essayé de comprendre le pourquoi du comment, mais impossible, j'ai rien compris jusqu'à la presque fin. J'ai eu une idée qui s'est révélée plutôt vraie (mais vraiment à la quasi fin du roman) et finalement le prologue m'a fait un gros fuck #128514; J'ai beaucoup aimé cette lecture mais il manquait un petit côté "mais non #128561;" que j'attendais. Avec ce deuxième roman que je lis de l'auteur, Fitzek devient une nouvelle valeur sûre de thrillers psy que j'affectionne #127881;