La Cité aux murs incertains : Le livre de Haruki Murakami
La Cité aux murs incertains - Trailer
Tu dis : " La Cité est entourée de hauts murs et il est très difficile d'y pénétrer. Mais encore plus difficile d'en sortir.
- Comment pourrais-je y entrer, alors ?
- Il suffit que tu le désires "
La jeune fille a parlé de la Cité à son amoureux. Elle lui a dit qu'il ne pourrait s'y rendre que s'il voulait connaître son vrai moi. Et puis la jeune fille a disparu. Alors l'amoureux est parti à sa recherche dans la Cité. Comme tous les habitants, il a perdu son ombre. Il est devenu liseur de rêves dans une bibliothèque. Il n'a pas trouvé la jeune fille. Mais il n'a jamais cessé de la chercher... Avec son nouveau roman si attendu, le Maître nous livre une œuvre empreinte d'une poésie sublime, une histoire d'amour mélancolique entre deux êtres en quête d'absolu, une ode aux livres et à leurs gardiens, une parabole puissante sur l'étrangeté de notre époque.
Traduit du japonais par Hélène Morita.
Un nouveau roman dans la lignée des grands succès d'Haruki Murakami,
Kafka sur le rivage,
1Q84,
La Course au mouton sauvage,
Au sud de la frontière à l'ouest du soleil,
Le Meurtre du commandeur,
Des hommes sans femmes,
L'Incolore Tsukuru Tazaki et ses années de pèlerinage,
Abandonner un chat,
Première personne du singulier ou encore
La Ballade de l'impossible.
De (auteur) : Haruki Murakami
Traduit par : Hélène Morita, Tomoko Oono
Expérience de lecture
Avis des libraires
Avis Babelio
Carteroutiere
• Il y a 1 semaine
J’ai toujours beaucoup de plaisir à lire Murakami. Dans ce livre, un jeune homme, puis un homme mûr court après une jeune fille qu’il a connu dans sa jeunesse. Il va la chercher même dans une curieuse cité fermée. Après cet amour de jeunesse, peut-être venu trop tôt, il aura du mal à s’attacher à quelqu’un. Alors, cette cité fermée symbolise-t-elle un rêve ou notre conscience ? J’adore son style : c’est fluide, on le lit facilement et c’est captivant. J’aime bien aussi la part de magie : on est entre deux mondes et on a toujours du mal à distinguer le rêve de la réalité. Murakami est aussi très fort dans le domaine de l’imprévu. Sa technique d’écriture nous surprend toujours. A part cela, je n’ai pas retrouvé dans ce livre une histoire comme dans I84 ou le meurtre du Commandeur. C’est plutôt un conte retravaillé ou plutôt des contes ajustés l’un à l’autre. D’ailleurs il l’explique très bien dans sa postface. Alors un sentiment de fin de carrière ?
hamelaure
• Il y a 1 semaine
Fan depuis des années de cet auteur c est avec bonheur que j ai découvert ce cadeau du Père Noël ! Un bonheur de courte durée qui a cédé sa place aux montagnes russes made in Japan. Pour faire simple j'ai peiné dans la première partie (qui a radicalement changé ma vision des licornes !), je n ai pas réussi à le lâcher pendant la deuxième partie et heureusement que la troisième n'était pas trop longue. Malgré ces petites difficultés ce livre m a profondément touché.
raphdementon
• Il y a 1 semaine
Que dire de ce dernier roman de Murakami ? D'abord une certaine forme de désarçonnement : mais je l'ai déjà lu, ce livre de Murakami, non ? Oui, il s'appelle La fin des temps, publié… dans les années 1980. Les pages passent et je n'arrive pas à me défaire de ce premier roman que j'avais adoré. Je trouve même cette histoire dans la Cité moins forte et onirique qu'elle ne l'avait été dans La fin des temps. Mais je n'abandonne pas. J'ai confiance en Murakami pour me faire surprendre, enfin c'est ce que j'espère au plus profond de moi. Heureusement, arrive la seconde partie du roman (à partir de la page 170) et là je commence enfin à complètement rentrer dans le roman et à me détacher (enfin) de la fin des temps. Comme à son habitude, Murakami nous emmène dans son univers si virtuose et particulier, où règnent solitude, quête de soi, réel, irréel et bien d'autres thèmes qui lui sont chers, dont la musique (arrivée un peu tard à mon goût, mais c'est très personnel). Mr Koyasu restera probablement ma pépite de ce roman. La seconde partie du roman s'articule d'ailleurs grandement autour de ce mystérieux personnage. Les pages se tournent, défilent et je passe réellement un bon moment en lisant cet ouvrage même s'il m'a fallu du temps pour rentrer dedans. Enfin, ce que je trouve le plus prodigieux dans cet ouvrage, c'est la fin. Mais pas celle du récit, celle de l'auteur : la postface. C'est étrange, me direz-vous, car dans la postface, il ne s'agit plus de la substance du roman, du corps de l'histoire, mais du regard de l'auteur sur la construction de cette œuvre. Et là c'est grandiose. Je suis subjuguée. La Cité aux murs incertains n'est autre que le reflet de l’œuvre d'écriture de Murakami : son cheminement littéraire, son évolution en tant qu'écrivain, sa « quête de soi ». Grandiose. Murakami aurait-il fini par trouver son « vrai moi » en achevant cette œuvre, 45 ans après sa première ébauche ? Je mets donc 5 étoiles à ce roman, non pas pour son histoire, mais pour l'Idée de cheminement littéraire que ce travail représente. Un aboutissement. La Cité de Haruki Murakami.
MarianneDardenne
• Il y a 2 semaines
Quel plaisir de découvrir un nouveau livre de Murakami ! On se laisse envoûter et emporter dans son univers onirique. On passe du monde réel à l'imaginaire. Le rythme est lent, contemplatif caractéristique de son style. Lire un Murakami, c'est s'évader. Une seule envie : relire les autres !
Avis des membres
Fiche technique du livre
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- Genres
- Romans , Roman Étranger
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- EAN
- 9782714404305
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- Collection ou Série
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- Format
- Grand format
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- Nombre de pages
- 560
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- Dimensions
- 225 x 146 mm
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25,00 € Grand format 560 pages