Focus
3 choses à savoir sur Danielle Steel
Publié le 18/12/2019 , par Presses de la Cité

Danielle Steel est un véritable phénomène d’édition, une catégorie en soi ; une auteure que son talent et sa force de travail ont propulsée au sommet. Il nous reste tant de choses à apprendre sur cette écrivaine fascinante… En voici trois.
Elle a une puissance de travail exceptionnelle
Sa devise ? « Écrire tous les jours ! » Pendant les onze premières années de sa carrière, elle n’a pas pris un seul jour de congé. Elle a d’ailleurs déclaré au libraire Barnes & Noble : « Travaillez aussi dur que vous le pouvez, et même plus que ça. La discipline et la persévérance sont essentielles. N’attendez pas que l’inspiration vous frappe, restez assis et travaillez quoi qu’il arrive, même si cela se fait lentement. Rien ne remplace le travail acharné (et pas seulement dans le domaine de l’écriture). »
Elle travaille sur plusieurs romans en même temps, à différents stades du processus d’écriture : construction de la trame pour l’un, rédaction ou encore dernières corrections pour d’autres.
Elle écrit sur la même machine à écrire depuis ses débuts
Elle travaille sur une Olympia de 1946 qu’elle surnomme « Olly », preuve à l’appui dans cette vidéo qu’elle a partagée sur Instagram :
« C’est ainsi que je passe 20 à 22 heures de mon temps de travail (à peu près tous les jours, surtout lorsque j’écris un livre), sur ma vieille machine à écrire Olympia, "Ollie" : je me plonge dans l’histoire et j’oublie le reste du monde. Mes enfants disent qu'ils se sont endormis tous les soirs au son de ma machine à écrire. J'écrivais la nuit après leur coucher. Maintenant, j’écris tout le temps. Cent-quatre-vingt-cinq livres maintenant... Je suis la plus heureuse lorsque je tape sur ma machine à écrire, lorsque j’écris. Et voici à quoi ça ressemble, ET le bruit que ça produit !!! Bienvenue dans mon monde ! »
Elle est francophone et francophile
Danielle Steel parle parfaitement le français. Elle a suivi ses études à New York, où elle a été diplômée du Lycée français. Elle apprécie beaucoup la culture française et séjourne souvent dans notre pays. Nombre de ses romans mettent d’ailleurs la France à l’honneur.
Prisonnière

À 19 ans, Natasha est sauvée des rues de Moscou par un milliardaire, Vladimir, mais doit satisfaire ses moindres désirs.
Des années plus tard, à Saint-Paul-de-Vence, Vladimir est captivé par une oeuvre du peintre Lorenzo Luca, que sa veuve refuse obstinément de lui vendre. Lorsque le fils de Luca, Théo, artiste lui-même, rencontre pour la première fois la délicieuse Natasha, il est étourdi de désir pour cette femme inaccessible.
Entre Vladimir et Théo, Natasha commence à rêver de l'impossible : sa propre liberté.